ActualitesNovembre2006

"Le Cri du silence se trouve être le titre du film de Dominique Gautier et Jean Ortiz (Bordeaux, Mois du documentaire, le 27 novembre). Ce film fait la chronique de l'exhumation soigneuse, chaque os lentement brossé, de corps jetés dans les décharges du village de Santaella par les franquistes en septembre 1936, près de Cordoue. Et ignorés depuis comme dans toute la péninsule. Lumière blanche de l'Andalousie, lumière d'été, travail d'archéologue et de fourmi, lente montée de paroles écoutées par Ortiz. Dans la mesure où cette guerre d'Espagne, qui n'eut de civile que le nom, tient lieu de laboratoire industriel à l'extermination méthodique, à toutes les abominations qui en découleront, ce témoignage répond à : "Nous ne mourrons que si vous nous oubliez." Ce n'est pas du passé qu'il s'agit, mais de demain".

Lire la totalité de l'article du Monde.

Nos actualités, nos camarades.
(cliquez sur l'image) Le livre de Gabrielle Garcia et d'Isabelle Matas	Un message de Gabrielle Garcia de Rennes "Notre livre vient de recevoir le prix du " Grand Ouest", prix de l'Association des "écrivains de l'ouest". Je viens d'être informée par téléphone par le président du jury. Celui-ci a ajouté "pour son importance pour la mémoire collective". Remise du prix le 20 décembre, à la mairie de Rennes. Fabien, je suis heureuse pour eux, nos pères".
(cliquez sur l'image) Le film "Le Cri du silence"	Un message de Jean Ortiz de Pau "Le journal Le Monde, dans son édition d'aujourd'hui, vient de citer notre film "le cri du silence" consacré aux fosses du franquisme". Un extrait de l'article du Monde : "Le Cri du silence se trouve être le titre du film de Dominique Gautier et Jean Ortiz (Bordeaux, Mois du documentaire, le 27 novembre). Ce film fait la chronique de l'exhumation soigneuse, chaque os lentement brossé, de corps jetés dans les décharges du village de Santaella par les franquistes en septembre 1936, près de Cordoue. Et ignorés depuis comme dans toute la péninsule. Lumière blanche de l'Andalousie, lumière d'été, travail d'archéologue et de fourmi, lente montée de paroles écoutées par Ortiz. Dans la mesure où cette guerre d'Espagne, qui n'eut de civile que le nom, tient lieu de laboratoire industriel à l'extermination méthodique, à toutes les abominations qui en découleront, ce témoignage répond à : "Nous ne mourrons que si vous nous oubliez." Ce n'est pas du passé qu'il s'agit, mais de demain". Lire la totalité de l'article du Monde.